25
septembre 2000 Honte au carré. Quand un ami me dit qu’il va chez un psy, j’ai
honte. J’ai honte pour la honte qu’il doit éprouver en me l’annonçant. Si je
m’aperçois qu’il n’a pas honte, j’ai encore plus honte. Pour lui, qui est mon
ami.
Beaucoup
de peu. Les psy (tous genres
confondus) tournent toujours autour du peu. Ce qui leur donne une maîtrise du
langage réservée jadis aux poètes. Les plus lucides le savent, les plus
roublards en profitent et la majorité patouille.
Analyse interminable ? L'analyse se
suspend là où les mots a-baisent. Quand les maux ne font plus mal. C’est long,
mais ça apaise. Elle arrête quand ça ne baise plus et surtout quand ça
n’abaisse plus.
Animaux et cuisses. Le droit de chiénage était plus répandu
mais est moins connu que le droit de cuissage. Un autre exemple de
l’anthropomorphisme impénitent de l’Occident qui donne plus d’importance à la
cuisse d’un baron qu’à un être vivant — et mammifère par dessus le marché.
Grâce
et non garce. Elle pense que
l’athrepsi est une boisson gazeuse et Pavarotti un tenon. Elle confond
chleuasme avec chloasma. Et alors ? Jamais je ne vis pareille grâce dans
l’effeuillement.
Pas
d’accord. « Je déteste qu’on
soit chiche de beau langage : qui écrit brièvement est plus près du dédain
que de la politesse (magis fastidio quam officio) » (Simmaque à
Prétextat). Encore la traduction ?
26
septembre 2000 Les seigneurs des
anneaux. J’aime regarder la gymnastique, surtout celle des hommes, surtout
les anneaux. Au derniers Jeux Olympiques je fondis en larmes d’émotion et de
plaisir en admirant les exercices du Hongrois lauréat de la médaille d’or.
Pourquoi une telle émotion ? Parce que c’était un contact direct avec un
sublime qui jaillit d’une fusion sereine et puissante de volonté, force, grâce,
beauté et intelligence. Une œuvre du corps loin des contorsions du cirque, un
travail de l’âme loin du marécage des livres. Si on avait encore le droit de se
demander ce qu’est l’homme idéal, j’aurais une réponse facile : ni un
guerrier de la taille de Napoléon, ni un poète qui rivalise avec Dante, un
philosophe comme Nietzsche non plus : ce serait un seigneur des anneaux.
27
septembre 2000 Poète impudique.
« …qu’au
moins les pauvres soient encore
pauvres.
Ils
ne le sont plus. Seulement des non-riches »
Assez,
Rilke ! Épargne-nous ta misère. Tais-toi.
28
septembre 2000 Baleines et phoques.
Le 28 septembre 1891 mourait Herman Melville. Le 28 septembre 1933 naissait
Brigitte Bardot.
Depuis quelques mois je le rencontrais très souvent,
trop souvent. Pratiquement à toutes les réunions du cercle et dieu sait qu’ils
sont fréquents, nos repas-réunions-discussions. Disons, que je le rencontrais,
en moyenne, quatre fois par semaine. Mais, pour comprendre cette espèce
d’histoire, il faut quelques mots sur notre cercle qui, à vrai dire, est un
cercle plutôt carré, au moins sur certains principes de base. Par
exemple : nous ne faisons pas partie des gens ordinaires qui parlent trop
de hockey, ni des petites bonnes femmes qui se ressourcent de vécu ; la
politique, nous la laissons aux naïfs et aux cyniques ce qui revient au même
et, au dire de notre tête grise, on peut y voir une énième démonstration des
extrêmes qui se rejoignent ; nous ne faisons pas partie non plus de ces
conciliabules post-modernes qui ont un mot (toujours le même) à dire sur tout.
Notre jardin c’est la littérature. Là, avec un flair de vrais corniauds, nous
savons à coup sûr départir la bonne de la mauvaise graine. La majorité de nos
invités venez assez régulièrement et étaient plus ou moins visibles : plus
moins que plus, car, le côté rond de notre cercle — ce n’est pas un cercle pour
rien — nous empêche de trop souligner les choses, de « troper ». Il
faut avoir de la mesure, mais pas trop ; être en retrait mais, là aussi,
pas trop ; se montrer sans trop le donner à voir. Côté police, par
exemple, on n’aime ni les caractères gras ni le souligné, on préfère
l’évanescence et l’incertitude de l’italique. Comme vous voyez notre amour des
rondeurs peut être tellement exagéré que c’est comme si le côté carré venait
mettre des arêtes dans la rondeur. Ceux qui aspirent à entrer dans notre cercle
sont immanquablement refusés, pour des motifs souvent pas tout à fait honnêtes,
et ça doit être pour cela qu’ils nous appellent le cercle des Jamais trop
— ce qui laisse flotter une ambiguïté qu’il serait malvenu de définir
déplaisante.
Même après trois mois de fréquentation, cet invité,
qui avait l’air d’être connu comme Trudeau dans la Beauce, était pour moi un
parfait inconnu. Et j’avais honte. Si, la première fois que Wellington en avait
parlé, j’avais admis de n’avoir jamais entendu son nom, tout aurait été plus
simple. Malheureusement, je ne dis rien. Il y avait plein de personnages
littéraires que je ne connaissais pas et qui avaient fait des apparitions
furtives : qui sortaient un instant la tête du fleuve des mots pour
disparaître, trois discussions plus loin, sans laisser de trace. Je souhaitais
qu’il se noie comme tant d’autres. Mais cette fois ce n’était décidément pas le
cas. Il avait l’air d’aimer la mer et d’être un très bon nageur.
La deuxième fois j’aurais sans doute pu encore me
rattraper. J’aurais pu, mais je ne l’ai pas fait. C’était le prof de
littérature qui avait déjà enseigné à Princeton qui le présentait et c’eût été
offensant, pour le bon nom du groupe, de confesser son ignorance surtout qu’il
m’avait regardé avec un degré de complicité bien au dessus de l’ordinaire. La
troisième fois, je crois que ce fut notre thésarde. J’aurais sans doute pu
lancer une des mes boutades, hélas souvent sans effet, mais elle était trop de
mauvaise humeur et ça risquait de faire un bien mauvais effet ; ainsi, la
troisième fois aussi, il passa sans que je sache qui il était. La quatrième,
c’était trop tard : il était désormais installé dans le cercle comme jadis
Stephen ou Ulrich et il n’y avait plus de moyens de le déloger
Je dois avouer que j’ai une grande difficulté à
suivre les conseils de mes amis en matière de livres et que donc très souvent
je n’ai aucune idée de leurs références littéraires. Mes amis ? J’aurais
mieux fait de dire mes connaissances car, comme disent si bien mes
« amis », je suis incapable d’amitié : il semble, et puisqu’il
semble ça doit être vrai, que je ne me confie pas et les amis sont faits pour
se confier, il semble. Il semble aussi que, comme beaucoup de gens
autoritaires, je ne sois pas capable de suivre les conseils, n’importe quel
conseil. Au-delà de ce qu’il semble, il est clair que les conseils de lecture
de mes amis ne réussissent pas à m’allumer ; ce qui ne veut pas dire qu’ils
ne soient pas importants : ils sont le bois et le papier de ma cheminée
mais, à nos latitudes et avec l’humidité de notre climat, il n’y a pratiquement
jamais d’autocombustion. Il faut une allumette, une allumette qui, dans mon
cas, vient toujours de l’extérieur. Mon côté de parvenu de la culture demande
que ce soit une personne célébrée par les médias qui allume. À ma décharge
partielle (je hais les décharges complètes, je les trouve « trop »)
je dois ajouter qu’après c’est le bois des amis qui maintient le feu ce qui ne
semble malheureusement pas compter, car seules semblent compter l’origine et la
généalogie.
Cette fois mon allumette ce fut le philosophe
français d’exportation que Sollers appelle Saïda. Avec cette dernière phrase, je
vous ai donné un bon exemple du style de nos discussions : on ne dit
jamais les choses directement (c’est trop vulgaire), on fait des détours, on se
tortille. On dit donc Saïda au lieu de dire tout bêtement Derrida — il faut
dire à notre défense que nous mangeons et dormons à Montréal mais respirons à
Paris. Un jour, avant de trouver mon allumette parigote, le feu avait presque
pris tout seul mais j’ai eu la malencontreuse idée de lire la quatrième de
couverture : « Qui a lu cette longue nouvelle sait de quelle terreur
peut se charger le mode conditionnel. Qui le lira le saura. » Ce fut comme
un seau d’eau froide sur une tendre flammêche. Je dois admettre que je n’aime
ni les mystères ni la confiture, surtout si préparés par quelqu’un qui serait
bien plus utile à la société comme pêcheur de sardines que comme écrivain. Je
me disais que je ne lirais probablement jamais ce livre, quand Saïda arriva, à
cheval sur la compulsion de répétition qui a le pouvoir de me désarçonner même
quand elle est manipulée par des chevaliers moins habiles que Saïda. Donc, non
seulement la compulsion de répétition m’avait déjà jeté par terre mais le coup
de grâce est venu quelque lignes plus loin dans Résistances :
« Ceux qui ont lu [tous ceux de mon cercle] ce petit livre immense [lui il
n’a pas peur des exagérations, mais on le pardonne car il est un simple
philosophe institutionnel] de Melville savent que Bartelby est aussi une figure
de la mort (…) Bartelby c’est aussi le secret de la littérature » Il y a
vraiment mis le paquet : compulsion de répétition, mort et littérature.
Tout, quoi ! La vie. Que voulez-vous d’autre ? La mère ? Ça, ça
serait trop même pour Saïda. J’achetai donc ce livret immense, J’allumai ma
cheminée (la vraie, c’est-à-dire la fausse, celle qui a l’air d’un tableau dans
un appartement carré meublé comme une cellule de moine dans un quartier
multiculturel d’une ville culturellement pauvre comme on n’a cesse de répéter
dans nos discussions), j’allumai ma cheminée et après avoir dégusté mon Lavazza
je m’installai à mon lutrin et je lis. D’un souffle. Je le lis d’un souffle.
Finalement j’ai connu Bartelby. Mais ce ne pas le
même que celui de Saïda : « Bartelby est aussi une figure de la mort
(…) Bartelby c’est aussi le secret de la littérature. Là où elle fait parler ou
— chanter la psychanalyse. »
—
Tu
nous as présenté le Bartelby de Saïda. Parle-nous du tien.
—
Je
préfèrerais ne pas…
—
Tu
nous as fait tout ce baratin… vas-y !
—
Je
préfèrerais ne pas…
—
Quelle
tête de mule ! Seulement quelques mots !
—
Je
préfèrerais ne pas…
—
Je
te connais assez pour pouvoir le dire à ta place. En hommage à Debord, tu
aurais dit que Bartelby n’est pas « le secret de la littérature »,
(ce qui a l’air d’être du n’importe quoi) mais « La littérature du
secret » qui a un bien autre charme. Qui est bien plus vrai, n’est-ce
pas ?
—
Je
préfèrerais ne pas…
29
Septembre 2000 Bistouris et plumasseaux. M. Foucault dans Qu’est-ce qu’un auteur ? après
avoir dit qu’il n’est pas important si Pierre Dupont a les yeux bleus ou s’il
est né à Paris, écrit : « En revanche les problèmes posés par le nom
de l’auteur sont beaucoup plus complexes (…) si on découvrait que Shakespeare
n’est pas l’auteur des sonnets (…) voilà un changement qui (…) ne laisse pas
indifférent le fonctionnement du nom de l’auteur ». Cette affirmation est
un exemple parfait de procédé intellectuel qui frôle la malhonnêteté
(intellectuelle, s’il y en a une) : pour démontrer une thèse on prend un
contre exemple qui a l’air tout à fait évident mais dont l’évidence déplace le
problème et sert seulement à donner une fausse scientificité. Pourquoi a-t-il
pris la couleur des yeux ? Pourquoi n’a-t-il pas écrit que si on
découvrait que Pierre Dupont était le responsable de la tuerie de la
Saint-Valentin, cela ne laisserait pas indifférent le fonctionnement du nom de
l’auteur ! et sa vie et celle d’Al Capone non plus ! Le discours de
Foucault est applicable à tout « auteur » et non seulement aux
écrivains ou aux peintres, etc. Il s’applique à tous ceux qui font quelque
chose de significatif, ceux qui produisent quelque chose qui laisse une trace
plus ou moins profonde dans l’histoire. Tous ceux qui agissent. Mais, qu’est-ce
que l’écriture sinon un cas particulier d’action : une action qui peut
décrire des actions et qui laisse des traces matérielles. On dira que Foucault
a le droit de se limiter à un certain type d’auteur. Oui, mais en tant que
philosophe il doit au moins lancer une indication vers une plus grande
généralité. Sinon, à quoi bon philosopher ? Mais on peut le comprendre, il
est un auteur de textes et il tombe dans le piège de la parole qui, quand elle
ne se prend pas pour le centre du monde, elle se prend pour un bistouri et
n’accepte pas d’être un simple plumasseau.
30 Septembre 2000 De l’auteur ou de l’importance de s’appeler Joyce. Dans les années soixante Stephen Joyce envoya à une petite revue irlandaise (Titbits’s Studies) un texte de son grand-père qui causa un petit tremblement de textes. Le récit n’avait jamais été publié même s’il était connu dans le cercle joycien. Ce fut Richard Ellmann qui en parla le premier dans une conférence à l’université Mc Gill en 1964. L’autorité d’Ellmann ne fut pas sans effet sur les héritiers qui avaient toujours refusé de publier ce texte à cause de la célèbre « querelle » entre Jim et Nora[1] du 15 décembre 1940, à l’Hôtel de la Paix de Lausanne. Nora montrant la valise pleine d’habits sales d’encre verte :
—
Jim, regarde ce
gâchis !
Et
Joyce lui montrant le texte :
—
Ça c’est un
gâchis ! A doggy-buggy lines without ups[2].
Le chien d’Ettore aurait mieux fait.
Effectivement
ce texte de deux pages sur le chien d’ Ettore Schmitz (Italo Svevo) n’a
absolument rien de joycien. Il est passablement banal si ce n’était pas pour la
première longue phrase qui est un assez beau travail de dentellerie. Mais mon
but n’est pas de critiquer. Ça servirait à quoi ? À dire que même les
grands écrivains pondent des œufs sans double jaune ? On a tellement
d’exemples ! Des pages insipides peuvent glisser facilement dans une
grande œuvre ; presque aussi facilement que des fleurs peuvent pousser
dans un terrain aride et caillouteux[3].
Mais retournons à nos oignons. Donc, le comité de rédaction frétillait dans
l’attente du texte qu’on lui avait annoncé[4]
et qui fut lu dans la réunion du 16 juin 1974. Unanimité — dans les regards
déçus. Contrairement à l’habitude, personne ne semblait vouloir commencer à
parler. Et puis… et puis ce fut la ruée de la horde. Une horde de critiques
littéraires qui, avec toutes les armes imaginables, se lancèrent sur ce texte
inerme, sans grands mérites, certe, mais sans grandes fautes non plus :
—
De la bouillie pour les
chats...
—
Il est tellement nul que
j’aurais honte…
—
Non. On ne publie pas un
texte seulement parce qu’il est de Joyce.
—
Bull shit...
—
Si c’était un texte d’un
inconnu on ne l’aurait jamais publié.
—
Du caca d’auteur…
—
C’est de la merde, de la
merde de Joyce mais de la merde…
Etc.
etc.
On
transmit à Stephen la nouvelle du refus avec une cassette contenant
l’enregistrement de la discussion. Celui-ci envoya une courte lettre de
remerciements :
Mesdames, messieurs,
Je suis très honoré que vous ayez accepté de lire le
petit texte de mon grand-père. Je regrette qu’il ne soit pas à la hauteur de
votre excellentissime revue et que vous ayez perdu ainsi du temps précieux.
J’aurais aimé que vous le publiâtes pour accroître la gloire de J. Joyce qui, en cette période de nationalisme borné
et de regain du religieux, n’est plus ce qu’elle était. Mais, soyez assurés,
membres de l’illustre comité, que je
n’ai aucune difficulté à vous comprendre : vous n’êtes pas là pour faire des œuvres de charité et, surtout, vous
n’avez pas besoin du « nom » d’un écrivain plus ou moins célèbre.
J’avais sous-évalué la force de votre réflexion et surtout la richesse de
l’articulation de vos critiques qui atteignent, par moments, des niveaux d’une
rare sublimité : « C’est de la merde… nul… bull shit etc. ». Mea culpa.
Soyez assuré, cher comité, de ma plus profonde
déférence envers vos grandes qualités
d’éditeurs.
P.S.
Peut-être qu’une légère amertume fait surface dans ma lettre.
Soyez magnanimes car mes seules revenues sont les droits d’auteur sur les
œuvres de mon grand-père qui, comme il est facile imaginer, sont directement
liés à sa gloire.
* * *
Si
j’étais dans comité j’aurais défendu la publication du texte de Joyce. À cause
du nom. Il n’y a que le nom qui compte, le reste c’est des restes, comme les
éboulements du Mont Blanc, ou les flaques laissées par l’océan Atlantique.
Premier
octobre 2000 Marques. La
marque des produits littéraires est importante surtout quand elle ne se limite
pas à un seul produit. La marque Joyce qui a publié, entre autres,
l’Ulysse est une marque de confiance même si elle est moins bon marché que bien
d’autres. L’étiquette Joyce unifie beaucoup de produits qui de
l’unification tirent une saveur toute particulière. Si Gens de Dublin
avait été produit par Mc Culloch, l’Ulysse par Joyce, Le portrait
par Clinton, etc. tous ces produits seraient bien plus insipides — tout comme
si on distribuait les produits de Hegel ou Platon parmi quelques dizaines de
marques philosophiques. Ce qui ne veut pas dire qu’on doit publier dans une
revue littéraire tous les produits d’une marque comme, que sais-je ? une
liste d’épicerie de Joyce (à moins qu’elle soit un jeu littéraire ou qu’elle
contienne l’article « abats », ce qui permettrait de démythifier un
Joyce qui, contrairement à un de ses alter ego, ne pouvait pas supporter la vue
des abats). L’insistance sur le terme
production n’est pas une provocation. Je préfère production à création
car il permet de nier les fausses différences entre les différents types de
produits et donc de « nier » le marché qui fait circuler les produits
sur des routes différentes seulement en apparence.
Vaches
de marque. À la même époque : mal du pied et du museau en Irlande (c’est
Joyce qui le dit) et maladie imaginaire des vaches au Québec (Rumilly nous
informe). Les colonies sont des colonies et les colons ont les vaches qu’ils
méritent. Comme l’ex mère-patrie aujourd’hui, avec la vache folle.
[1] Citée avec la pudeur habituelle par R. Ellman dans sa biographie de Joyce.
[2] Tentative de traduction : Vermoulignes chiennes sans bandage.
[3] Le Trempet en est un bon exemple !
[4] Cette revue pratiquement inconnue avait eu cet honneur car un des membres du comité connaissait l’amie de l’amie de Stephen Joyce.